Ça n’allait pas trop fort depuis deux lunaisons, avec un pôle de planètes rétrogrades (notamment les plus lentes, agglomérées autour de Neptune) ralentissant une partie du paysage astral. Lui faisait face un autre pôle assez « intranquille », celui qui nous concerne nous personnellement, aux prises avec la Lune noire, source d’angoisses.
La Nouvelle lune d’octobre ne va pas mieux, avec d’un côté le pôle toujours inquiet de nos planètes personnelles et intimes, accompagné de l’incontournable Lune noire, et de l’autre côté le pôle des planètes lentes qui se réveille progressivement sous la coupe de Neptune. Le rapport de force entre planètes personnelles et intimes et planètes sociales et collectives se modifie et se rééquilibre, en notre défaveur. Le pôle neptunien s’allonge, prend de l’étoffe. Il va mieux ! L’autre pôle, sur lequel on retrouve le Soleil, la Lune, Mercure et Vénus (nous, quoi ! ) résiste bien mais se rétracte, se condense, s’élargit. Il semble réunir ses forces vives pour faire face à l’adversité.
Bref, les deux pôles n’ont pas du tout la même stratégie d’action pour permettre à la Nouvelle lune de s’incarner. Nous serons donc tenus de prendre en compte ce pôle qui s’éveille, qui est puissant et qui s’était (presque) fait oublier depuis la lunaison de juin. Et nous là-dedans ? Sur la défensive, méfiants.
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Belle lunaison,
Nathalie, Ciel et toiles.